où qu'il aille, d'où qu'il vienne l'oiseau aquatique ne laisse aucune trace pourtant, jamais, il ne perd son chemin ( Dogen) sur les chemins humides tous les jours la lumière de l'aube en ses éclats miroirs impossible de définir ce qui est par-delà les mots dans le pinceau ne doit même pas rester une goutte d'encre ( Dogen) en deçà des mots goutte à goutte sur le rocher, les feuilles joie de l'hiver lanlanhue
Tout est emprunté, même la vie.