« Mais il n’y a pas assez dans votre porte-monnaie ! »
La voix, forte et aiguë me tire de l’indifférente torpeur de l’attente. C’est samedi après-midi et au Monoprix de la Place Garibaldi, nous sommes nombreux à patienter pour régler nos achats.
Soudain tous les regards convergent vers la caissière qui a ainsi parlé. Il se passe quelque chose. Les cous se tendent, les voix se font murmures.
« Il manque deux euros ! Vous n’avez pas de quoi payer ! »
Face à l’employée, une vieille dame, modestement vêtue, fixe sur son porte-monnaie un regard empli de larmes. Elle tremble. Lire la suite >
La voix, forte et aiguë me tire de l’indifférente torpeur de l’attente. C’est samedi après-midi et au Monoprix de la Place Garibaldi, nous sommes nombreux à patienter pour régler nos achats.
Soudain tous les regards convergent vers la caissière qui a ainsi parlé. Il se passe quelque chose. Les cous se tendent, les voix se font murmures.
« Il manque deux euros ! Vous n’avez pas de quoi payer ! »
Face à l’employée, une vieille dame, modestement vêtue, fixe sur son porte-monnaie un regard empli de larmes. Elle tremble. Lire la suite >
Commentaires
Enregistrer un commentaire